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But what especially stood out in this performance, even beyond the fortepianist’s articulacy, her crystal-clear fingerwork, her delightful lightness of touch, the dynamic variety she offered and her total technical competence, was her true undertandng of Mozart himself.
As she played out each gesture, the charming small rubati, as she spelled out each emotion, each small whimsical riposte, each surprise and good-natured wink-of-an-eye detail, she stood back to present Mozart the humanist, the joyful, fallible, devil-may-care-genius whose contribution to music has been so great. If we consider Mozart’s aim of creating a ‘happy medium between what is too easy and too difficult... pleasing to the ear, and natural, without being vapid’, in his early Vienna concertos, Loftus’ performance was just that. It was exemplary.
— Pamela Hickman, pamelahickmansblog.blogspot.ca

Claviériste primée, la Canadienne d'origine Gili Loftus possède une triple expertise du pianoforte, du piano moderne et du clavecin qui lui confère un caractère unique. Cela lui a ouvert de nouvelles et passionnantes voies d'exploration artistique dont elle a été invitée à faire part par le biais de ses performances et conférences à travers les deux côtés de l'Atlantique.

Gili a été publiée dans Keyboard Perspectives et son travail a été présenté dans le New York Times. Elle a aussi été invitée de produire un récital sur la fortepiano originale de Clara Schumann (l’André Stein no. 513) qui est situé au Robert-Schumann-Haus à Zwickau, Allemagne.

En demande croissante en tant qu'artiste soliste et collaboratrice, Gili a été invitée à jouer avec plusieurs  d’ensembles d'instruments d'époque aussi a l’étranger qu’a Montreal, sa ville adoptée. Elle est particulièrement contente quand elle est appelée de revenir jouer des concerts en Israel, sa pays natale. Elle a enregistré pour Backlash Music (Berlin) et Leaf Music (Canada). Plus récemment, elle s’est lancée dans une nouvelle projet, Ida’s Salon Online, une série de mini-concerts sur instruments d’époque, explorant des différentes facettes de l’art, de la vie et la culture juifs de la Diaspora.

Gili a été généreusement soutenue par le Conseil des arts du Canada, ainsi que par les fonds AIDA, le Conseil des arts et des lettres du Québec et le Conseil de recherches en sciences humaines du Canada.